dimanche 13 mars 2011

Dernière ligne droite avant le premier tour des élections cantonales!

A 7 jours du premier tour des élections cantonales, toute l'Equipe autour d'Henri FRANCES et de Maryline ROY et possède les ressources suffisantes pour intensifier leur travail de terrain afin de convaincre un grand nombre d'électeurs pour "créer" comme l'a annoncé le Candidat "la surprise" au soir!
A noter deux rencontres avec la population sous forme de Réunions Publiques:
---Jeudi 17 Mars à 18h à Saint-Paul-la-Coste (salle communale)
---Vendredi 18 Mars à 18h à Saint-Christol lez Alès (Maison Pour Tous)

Communiqué de Yann WEHRLING.

10 mars 2011

Prix du carburant: "Le Gouvernement doit réagir", demande Yann Wehrling

Yann Wehrling, porte-parole du MoDem et responsable de l'Environnement au sein du Shadow cabinet, a estimé jeudi 10 mars que "le Gouvernement ne peut pas rester sans réagir face à la montée du prix du carburant".

"La dépendance à cette énergie pour des millions de français est telle, que les discours de la Ministre de l'économie sont nettement insuffisants", a-t-il notamment souligné.

"Peu d'analystes tablent aujourd'hui sur une baisse des prix du carburant. Le langage de vérité est de dire que les prix ne baisseront pas ou peu. La dépendance à cette énergie pour des millions de français est telle, que les discours de la Ministre de l'économie sont nettement insuffisants. De plus en plus de français sont pris à la gorge et dans sa réponse le gouvernement les abandonne... renforçant encore un peu plus son image d'un gouvernement totalement indifférent aux plus démunis.

Le gouvernement serait bien inspiré de prendre exemple sur ce que vient d'annoncer le gouvernement espagnol qui, au regard de la hausse du prix du baril, a décidé de réduire de 10km/h la vitesse sur autoroute et de baisser les prix des billets de train de 5 pour cent.

Dans les zones rurales ou peu desservies en transports en commun, de même que pour les professions très dépendantes de l'usage d'un véhicule, des chèques carburant sous condition de ressources devraient être imaginés. Cette mesure, limitée en terme de nombre de personnes concernées, ne devrait pas être aussi lourde d'un point de vue financier que la mesure de tarif social proposée par le député Yves Cochet (mesure qui, par ailleurs, n'est pas très écologique).

De plus, la lutte contre les déficits publics étant, c'est vrai, une priorité, le financement de toute nouvelle mesure repose la question d'une taxe carbone qu'il serait bon de cibler essentiellement sur les bénéfices des compagnies pétrolières qui sont aujourd'hui considérables.

En tout état de cause, pour le moyen et long terme, nous attendons du gouvernement et plus encore de l'Europe qu'ils se saisissent sérieusement de cette question.

Ne rien dire, ne rien faire, repousser à plus tard ou laisser entendre que nous sommes dans une situation passagère est une perte de temps dramatique. A moyen et long terme, le développement des énergies renouvelables et des économies d'énergie ainsi que l'instauration d'une taxe carbone européenne ou nationale sont de plus en plus une voie incontournable à propos desquelles toute hésitation, tout atermoiement sont lourds de conséquence pour nous et les générations futures."

Message du COMITE DE SOUTIEN.

Les Dimanches 20 et 27 Mars, votez Henri FRANCES et Maryline ROY!

Henri FRANCES, un Homme au service de tous.
---Identifié dans la vie locale depuis de nombreuses années par ses divers engagements associatifs et sociaux.
---Engagé pour la Défense et la Promotion de la Ruralité.
---Déterminé à rendre à son Canton une réelle dynamique en améliorant le cadre de Vie.
---Attaché à son Département, en général et à son Canton, en particulier.

Pour l'Avenir de notre Canton Alès Ouest, votez et faites voter Henri FRANCES et Maryline ROY!!!

Démocrates et Indépendants, fiers de l'être!

Démocrates et Indépendants, fiers de l'être!

democrates1Qu’est ce qui nous différencie des autres candidats et qui est un avantage pour les électeurs ?
Nous sommes portés par des valeurs différentes, nous faisons de la politique autrement et surtout nous ne nous résignons au carcan droite/gauche, nous en sommes indépendants.
Pourquoi se dire Démocrate aujourd’hui ?
Depuis longtemps déjà, on disserte sur l’incompréhension grandissante entre les citoyens et la classe politique. Peu à peu le fossé s’est creusé, à tel point que l’on parle désormais de divorce, de fracture, de défiance. Comme Démocrates, nous sommes persuadés que le moment est venu d’inverser la pente, d’intéresser à nouveau les citoyens au débat collectif. Car, au fond d’eux-mêmes, ils n’attendent que cela. On ne peut pas se passer d’ambitions politiques, de projet d’avenir. Nous pensons qu’il est temps de réhabiliter tout ce qui permet aux hommes et aux femmes d’œuvrer ensemble, de coopérer les uns avec les autres, de fuir l’excès d’individualisme pour recréer une société
unie et solidaire. Vivre ensemble est aujourd’hui la seule condition pour qu’une société résiste à la tentation de perdre en humanité.
Démocrate, c’est appartenir à ce courant de pensée qui refuse que la politique soit dominée par des extrêmes et aujourd’hui elle l’est. Les noyaux durs de l’UMP et du PS imposent aux autres courants. Nous sommes le courant du progrès solidaire et maitrisé, nous sommes un courant de conciliation, surmonter les clivages, c’est notre identité.
Les uns et les autres sont résignés à la suprématie de l’UMP ou du Parti socialiste, nous au contraire nous ne sommes résignés à aucune suprématie. Non pas par antipathie personnelle. Il y a des femmes et des hommes qui méritent l’estime. Mais ce qui est en cause,  ce ne sont pas les personnes, ce sont des questions politiques.
En défendant la place d’un certain idéal dans la politique, nous avons conscience d’être différent. Cet idéal est simple.
Nous voulons une société faite pour l’homme, pour la personne humaine, la femme, l’homme, l’enfant. Une société pour l’homme, c’est aussi une société par l’homme, sa liberté, sa créativité, sa responsabilité. Là sont nos valeurs. Nous plaçons l’homme au centre de chaque question de société, nous sommes en cela humanistes. La Démocratie est pour nous l’organisation politique qui fait confiance à la conscience et à la responsabilité des citoyens. Pour nous la République est un idéal à toujours garder en action. La justice et l’équité sont les critères du jugement des citoyens sur les pouvoirs qui les dirigent.
Cela tranche beaucoup avec d’autres projets. Ce ne sont pas les valeurs matérialistes et « court-termistes » du marché, la marchandisation de tous les domaines de l’activité humaine et de la concurrence à tout prix entre les êtres humains. Et ce ne sont pas les valeurs étatistes de l’assistance et de la prise en charge par la collectivité de nos vies.
C’est une société solidaire, une société créative, une société de responsabilité pour l’épanouissement personnel du plus grand nombre, une démocratie impartiale et fondée sur la vérité.
Si ces valeurs avaient été défendues, l’extrémisme ne progresserait pas dans notre pays, l’abstention ne serait pas à ce niveau. Extrémisme, abstention, ce sont les symptômes des sociétés malades. Mais jamais l’extrémisme ou l’abstention ne soignent la maladie. Ils l’aggravent.
Maintenant, pourquoi indépendants ?
Comment construire ce renouveau du vivre ensemble quand un français sur deux est exclu du système ?  Pour nous la Démocratie au sens de diversité des idées est la condition du renouveau. Répondre aux problèmes immédiats, préparer notre avenir, cela se construit ensemble, cela nécessite que tout le monde soit représenté.
Dans ce système d’affrontement droite /gauche, bloc contre bloc, le renouveau est difficilement possible. Les représentants de ces deux blocs ont-ils toute la liberté et l’ouverture d’esprit pour préparer la société d’après crise ?
De plus, vous comprenez aisément qu’un élu d’un autre parti qui doit son élection à une alliance, à un arrangement électoral est forcément  dépendant de l’UMP ou du PS, et donc, ne peut agir librement. Si vous êtes redevable, vous êtes dépendant.
Notre indépendance est votre garantie d’avoir des élus libres d’agir. Nous n’aurons de compte à rendre qu’à vous, les électeurs.
Nous nous présentons à cette élection cantonale comme citoyens engagés, indépendants, nous sommes sans mandat électifs et nous nous consacrerons pleinement à ce poste.
Notre indépendance nous permet de travailler ouvertement  avec tous, sans exclusive, de travailler au service de tous, au delà des étiquettes.
Nous nous engageons, une fois élus, à ne siéger ni avec le groupe UMP, ni avec le groupe du PS, mais à créer un groupe autonome et indépendant au Conseil Général.
En plus de notre projet, c’est pour cette cohérence d’attitude au premier et deuxième tour, pour cette ambition de constituer un groupe autonome que nous avons besoin de votre soutien dés le premier tour.
Ce rassemblement des Démocrates est l’occasion pour toutes les personnes, qui se retrouvent dans ces valeurs et dans cette approche de la politique et qui veulent enfin sortir du blocage droite contre gauche, d’aborder l’avenir avec confiance. Votre participation et votre soutien à ce scrutin est pour nous essentiel, cela décidera du renouveau, cela décidera d’espoir dans l’avenir.

samedi 12 mars 2011

Communiqué de François BAYROU, Président National du MoDem.

11 mars 2011

"Le risque est grand de voir effacer toutes les affaires de la décennie", analyse François Bayrou

François Bayrou, président du Mouvement Démocrate, signe mercredi 11 mars une tribune dans le journal Le Monde, consacrée à la question prioritaire de constitutionnalité déposée dans le cadre du procès Chirac.

"Si l'on a la curiosité de s'intéresser de plus près au fond de la manoeuvre, on découvre en vérité qu'une bombe civique est en préparation", pointe-t-il. Découvrez son argumentaire.

En apprenant le report du procès des emplois fictifs de Paris et Nanterre, dont Jacques Chirac apparaît comme le principal prévenu, on a d'abord pensé à une habile manoeuvre procédurale.

Les avocats des prévenus ont réussi, en posant une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), à retarder la tenue des audiences jusqu'à une date si indéterminée et lointaine que l'on ne sait si le procès aura vraiment lieu. Et c'est à ce retardement, et à ses effets sur l'opinion, que s'en sont tenus les commentateurs.

Mais si l'on a la curiosité de s'intéresser de plus près au fond de la manoeuvre, on découvre en vérité qu'une bombe civique est en préparation.

La nouvelle procédure de la question préalable de constitutionnalité permet à un justiciable, avant d'être jugé en vertu d'une loi donnée, de demander que cette loi soit soumise au Conseil constitutionnel pour vérifier sa conformité aux principes de notre Loi fondamentale. Pour le citoyen, c'est un vrai progrès démocratique.

Le prévenu pose la question au tribunal. Si celui-ci considère la question sérieuse, il la soumet au filtre de la Cour de cassation. Si la Haute Juridiction est du même avis, la question est transmise au Conseil constitutionnel.

Au travers de ces affaires d'emplois fictifs (à Paris cette semaine et la semaine prochaine à Nanterre) la véritable cible sera le seul point d'appui juridique de la quasi-totalité des poursuites des délits financiers dans notre pays. Ce point d'appui est celui-ci : la jurisprudence a considéré que les délits financiers, abus de confiance ou abus de biens sociaux étant des délits par nature cachés, dissimulés, non révélés aux victimes, le délai de prescription de trois ans, à partir duquel on n'a plus le droit de poursuivre, devait courir non pas à partir de la date des faits, mais de la date de leur découverte.

Cette question du délai de prescription est le point-clé du dévoilement de ces affaires. En effet, l'immense majorité des délits financiers, en raison de l'opacité des comptes, de la domiciliation offshore des détournements, du labyrinthe bancaire international et du temps nécessaire pour les dénouer, ne peut être poursuivie que si la jurisprudence prend en compte cette adaptation du délai de prescription.

Or il se trouve que cette adaptation n'a pas été codifiée. Le délai de prescription (dix ans pour un crime, trois ans pour un délit) ne connaît, dans notre ordre juridique, qu'une exception et une seule, celle du crime contre l'humanité.

L'objection est donc sérieuse. Et il n'est pas si évident en droit que la Cour de cassation puisse refuser de la transmettre au Conseil constitutionnel.

Car le Conseil constitutionnel a déjà jugé que non seulement la lettre de la loi, mais l'interprétation, même constante, de la loi par les tribunaux pouvaient faire l'objet du contrôle de constitutionnalité.

Si le Conseil constitutionnel est saisi, il devra trancher dans les trois mois (en dépit des difficultés qui font que des membres importants seront empêchés de siéger, puisqu'ils sont parties ou intéressés dans ces procédures - Jacques Chirac, Jean-Louis Debré, par exemple).

Si le Conseil donne raison à la question prioritaire, par défaut de principe juridique, alors, à l'instant, la totalité ou presque des poursuites de délits financiers dans notre pays tombe, disparaît dans les oubliettes, de manière irréversible.

Car s'appliquerait alors un autre principe de notre droit : il ne peut y avoir de poursuites qu'en vertu d'une loi promulguée préalablement à l'infraction ! S'il n'est pas de loi préalable, il ne peut y avoir de poursuites. Même si on votait une nouvelle loi, elle ne pourrait donc s'appliquer que pour le futur !

Ainsi donc serait abandonnée sans recours la quasi-totalité des poursuites dans ces délits de puissants qui indignent à juste titre l'opinion.

Un seul coup d'éponge, et s'effacent toutes les affaires de ces dernières décennies. On imagine les conséquences sur le climat civique, sur l'idée de la justice dans notre pays...

Ce n'est donc pas une manoeuvre, c'est une bombe ! Tout cela est-il fortuit, dû au seul hasard, sorti de nulle part ? Chacun jugera. En tout cas, nous avons devant nous, dans les semaines qui viennent, une menace imminente de bombe à fragmentation.

Et d'immenses conséquences morales et civiques sont en jeu, qui dépassent de beaucoup le procès des emplois fictifs, et le cas de Jacques Chirac, et que devront avoir en tête dans les semaines qui viennent les citoyens. Et d'abord les magistrats de la Cour de cassation, au moment de se prononcer sur cette question.

François Bayrou, président du MoDem

jeudi 10 mars 2011

Réunion Publique à Cendras!


Henri FRANCÈS

Candidat du Mouvement Démocrate (MoDem) sur le Canton d'Alès Ouest, et


Maryline ROY

sa Suppléante,

vous invitent à leur Réunion Publique ce Vendredi 11 Mars à 18h
Salle Communale des Jonquilles à Cendras.

Ils vous présenteront leur Projet pour le Canton Alès.

Cette Réunion sera suivi du Verre de l'Amitié!

Succès pour la Réunion organisée par l'Association AGIR!

153 personnes ont assisté, Jeudi 10 Mars, à la Réunion organisée par l'Association AGIR présidée par Monsieur Francès!
Pendant 1h30, le Conférencier, Michel SERANE, a présenté les recherches du CNRS au sujet de la question du Gaz de Schiste et des problèmes que cela génère! Ensuite, les personnes présentes ont pu poser leurs questions auxquelles le Conférencier a répondu en tant que chargé de Recherches à l'Université Montpellier II.

 
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